Djawé Faré aurait plutôt « zéwa », selon la Gendarmerie nationale

C’est ce que renseignent les détails apportés toujours ce jour après les articles d’informations portant sur la disparition de l’Adjudant de la Gendarmerie, Djawé Faré.

Dans une mise au point de la Gendarmerie, l’homme en service à la Bridage des recherches à Kara (420 Km au nord de Lomé), n’est pas porté disparu mais a plutôt déserté les rangs. « Contrairement à ce qui circule sur les réseaux sociaux, l’Adjudant FARE Djawé de la Brigade des recherches de gendarmerie à Kara n’est pas porté disparu. Il s’agit d’1e désertion des rangs après avoir abandonné sa tenue de travail », c’est ce qu’indique la Gendarmerie.

L’institution explique cette situation qui a fait croire dans un premier temps à une disparition par le fait que M. Djawé n’a pas informé qui que ce soit de sa décision.

Seulement que maintenant, un tel acte du Gendarme l’expose aux dispositions en vigueur en matière de désertion. A l’aune du nouveau code militaire en vigueur au Togo, on évoque entre autres, une peine d’emprisonnement de 6 mois à 3 ans au cas où il emporte avec lui des munitions, des objets d’équipement ou d’habillement, un véhicule, ou encore de 3 à 5 ans, s’il emporte une arme de guerre, et voir plus, s’il emporte avec lui une arme de guerre et ses munitions, des équipements de transmission ou des programmes informatiques spécifiques appartenant aux forces armées ou aux institutions assimilées.

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